Prévention du cancer :
l'eau Kangen et son rôle essentiel validé scientifiquement
L’eau est essentielle à la vie, représentant environ 75% de notre corps. Mais au-delà du simple maintien de l’hydratation, une consommation appropriée et régulière d’eau pourrait jouer un rôle déterminant dans la prévention de certains cancers. Plusieurs études scientifiques le démontrent clairement : boire suffisamment d’eau est un geste préventif majeur contre des formes précises de cancers comme ceux de la vessie, du côlon et du sein.
L'eau, une alliée incontournable pour notre organisme
Notre organisme dépend fortement d’un apport adéquat en eau pour assurer ses fonctions vitales : digestion des aliments, transport des nutriments essentiels, régulation de la température corporelle et élimination efficace des toxines. Lorsque le corps reçoit suffisamment d’eau, il peut efficacement nettoyer le tube digestif et prévenir l’accumulation de substances nocives potentiellement cancérigènes, notamment au niveau du côlon.
Selon l’USGS (United States Geological Survey), l’eau joue aussi un rôle central dans la production de salive, essentielle à une bonne digestion, ainsi que dans la lubrification des articulations et la régulation thermique via la transpiration et la respiration. L’eau protège également le cerveau, la moelle épinière et assure la production des hormones nécessaires à l’équilibre global de l’organisme.
Hydratation optimale et prévention des cancers spécifiques
Des recherches scientifiques récentes révèlent clairement un lien entre une hydratation adéquate et la réduction significative du risque de développer des cancers spécifiques comme la vessie, le côlon et le sein :
Une étude publiée par le prestigieux Journal of Clinical Oncology montre que plus une personne augmente sa consommation quotidienne d’eau, plus son risque de cancer de la vessie diminue significativement. Par exemple, une augmentation de seulement 240 ml (environ un verre d’eau) chaque jour réduit le risque de cancer de la vessie de 7%. Ceux consommant les quantités les plus élevées d’eau présentaient jusqu’à 49% moins de risques de développer ce cancer comparativement à ceux qui en consommaient très peu.
Une autre recherche démontre qu’une consommation minimale de cinq verres d’eau par jour réduit considérablement le risque de cancer colorectal par rapport aux personnes n’en buvant que deux verres ou moins. La raison ? L’eau diminue la durée de contact des toxines cancérigènes avec la paroi intestinale en accélérant le transit digestif et en diluant les substances potentiellement nuisibles.
L'eau ordinaire face à l'eau Kangen : faire un choix éclairé
Cependant, il est crucial de comprendre que toutes les eaux ne se valent pas. En effet, l’eau du robinet et l’eau embouteillée dans du plastique contiennent fréquemment des substances toxiques et cancérigènes telles que les trihalométhanes, le BPA ou encore le dioxyde d’antimoine.
C’est précisément sur ce point que l’eau Kangen proposée par notre groupe « WaterLifeHighTech » se distingue clairement :
- Pureté : L’eau Kangen est filtrée en profondeur, ce qui garantit l’absence de toxines nocives pour l’organisme.
- Effet antioxydant puissant : Riche en hydrogène actif, elle offre une action réparatrice qui aide à combattre les radicaux libres responsables du vieillissement prématuré et des dommages cellulaires associés au cancer.
- Hydratation optimisée : Grâce à sa structure moléculaire spécifique, l’eau Kangen pénètre plus facilement au niveau cellulaire, assurant une meilleure hydratation de l’organisme.
Étude du Dr Nakao : l’efficacité de l'eau riche en hydrogène durant la radiothérapie
Afin d’illustrer concrètement ces bénéfices, citons l’étude réalisée en 2011 par le Dr Nakao, expert reconnu dans ce domaine. Cette étude concernait 49 patients atteints d’un cancer du foie et soumis à des séances de radiothérapie. Durant six semaines, ces patients ont consommé quotidiennement deux litres d’eau riche en hydrogène (comme l’eau Kangen).
Les résultats, particulièrement encourageants, ont montré une nette réduction des lésions cellulaires chez les patients consommant cette eau spéciale par rapport à ceux ayant bu uniquement de l’eau ordinaire. Cette recherche valide donc scientifiquement l’utilité thérapeutique d’une eau riche en hydrogène, notamment pour améliorer la qualité de vie des patients confrontés aux effets secondaires lourds des traitements contre le cancer.
Conclusion : un geste quotidien pour une vie plus saine
En résumé, adopter une habitude d’hydratation régulière et optimale, en privilégiant une eau saine et antioxydante telle que l’eau Kangen proposée par « WaterLifeHighTech », constitue une stratégie puissante de prévention contre divers cancers, tout en contribuant à une meilleure qualité de vie en période de traitement médical.
Partagez ces informations autour de vous : choisir la bonne eau peut réellement changer des vies.
Références Scientifiques :
- Greenwald P: Cancer prevention clinical trials. J Clin Oncol 20:14S-22S, 2002 (suppl 18)
- Michaud DS, Spiegelman D, Clinton SK, et al: Fluid intake and the risk of bladder cancer in men. N Engl J Med 340:1390-1397, 1999 CrossRefMedline
- Bitterman WA, Farhadian H, Abu Samra C, et al: Environmental and nutritional factors significantly associated with cancer of the urinary tract among different ethnic groups. Urol Clin North Am 18:501-508, 1991 Medline
- Wilkens LR, Kadir MM, Kolonel LN, et al: Risk factors for lower urinary tract cancer: The role of total fluid consumption, nitrites and nitrosamines, and selected foods. Cancer Epidemiol Biomarkers Prev 5:161-166, 1996 Abstract/FREE Full Text
- Oyasu R, Hopp ML: The etiology of cancer of the bladder. Surg Gynecol Obstet 138:97-108, 1974 Medline
- Braver DJ, Modan M, Chetrit A, et al: Drinking, micturition habits, and urine concentration as potential risk factors in urinary bladder cancer. J Natl Cancer Inst 78:437-440, 1987
- Shannon J, White E, Shattuck AL, et al: Relationship of food groups and water intake to colon cancer risk. Cancer Epidemiol Biomarkers Prev 5:495-502, 1996 Medline
- Tang R, Wang JY, Lo SK, et al: Physical activity, water intake, and risk of colorectal cancer in Taiwan: A hospital-based case-control study. Int J Cancer 82:484-489, 1999 CrossRefMedline
- Uccheddu A, Murgia C, Licheri S, et al: The incidence of 1, 2-dimethylhydrazine-induced colonic neoplasms in the rat: The effect of constipation. G Chir 12:572-574, 1991 Medline
- Hohenegger M, Laminger U, Om P, et al: Metabolic effects of water deprivation. J Clin Chem Clin Biochem 24:277-282,1986 Medline
- Kadlubar FF, Dooley KL, Teitel CH, et al: Frequency of urination and its effects on metabolism. Cancer Res 51:4371-4377, 1991 Abstract/FREE Full Text
- Stookey JD, Belderson PE, Russell JM, et al: Correspondence re: J. Shannon et al, Relationship of food groups and water intake to colon cancer risk. Cancer Epidemiol Biomarkers Prev 6:657-658, 1997 Medline